CULTIVER LA LOYAUTE
Noëlle a écrit le 20.02.09:
Ce matin, à mon réveil, je pensais davantage au chemin que j'ai parcouru depuis à peine une demi-douzaine d'années plutôt qu'à celui que j'ai encore à faire pour ascensionner.
J'ai découvert qu'il est salutaire et encourageant de se retourner de temps en temps, sereinament, sans vantardise mais avec sincérité, pour rendre grâce à l'oeuvre accomplie.
Naturellement, cela m'a amenée à rendre aussi grâce à mon Maître, sans qui je pataugerais peut-être encore dans les sables de mon désert personnel, sans voir de Lumière devant moi.
Il m'a observé:
"Je n'ai été et ne suis que ton guide. N'oublie pas que tu as marché vite, en dépit d'un corps fragilisé par ton opération, en t'appuyant sur un étai invisible mais solide qui s'appelle DETERMINATION.
Que c'est doux de s'entendre ainsi valoriser! De tels mots vous donnent des ailes et une immense envie d'aller encore plus vite, ce qui est une bonne décision, vu que le temps nous est maintenant compté, à nous tous et encore plus à ceux qui ont choisi la mission de guider les autres humains. Ceci nous rend plus responsables de l'élévation de cette planète et de ses habitants à une dimension supérieure.
De fil en aiguille, comme il arrive quand on est couché et qu'on n'a plus sommeil, sans toutefois déceler une raison valable d'aller tout de suite affronter le froid de l'appartement, je suis arrivée à me souvenir de mon amie Isabelle, qui est venue passer quelques moments avec moi en début de semaine. Elle se faisait du souci pour ma solitude.
Il est vrai que depuis quelque temps j'habite physiquement seule et que je suis moins autonome suite à l'intervention chirurgicale que j'ai subie. De surcroît, je suis quelqu'un de très indépendant qui n'aime pas déranger famille, amis et voisins. Je réussis en général à me débrouiller, car je sais qu'il ne m'arrive que ce qui doit m'arriver pour mon bien suprême. Je tiens présent à l'esprit que la Terre est une école et que la vie nous présente les occasions d'apprendre dont nous avons besoin, sauf quand nous défions le danger nous-mêmes.
Isabelle me conseillait d'obtenir un de ces boutons d'alarme que les personnes à mobilité réduite portent autour du cou et qui leur permettent d'appeler à l'aide en toute circonstance.
Je comprends et j'ai apprécié son conseil mais je ne crois pas que je le suivrai, car pour moi ce serait une sorte de manque de confiance, de doute envers toute la protection que je reçois du Ciel. D'ailleurs j'ai vérifié plus d'une fois que, quand je crois avoir besoin d'aide, personne de mon entourage ne se trouve disponible et mes appels téléphoniques restent sans réponse. Ce n'est pas la faute de cet entourage. J'ai l'impression que la vie me dit par ce moyen: "Apprends à faire confiance à tes Guides. Eux, ils sont toujours là."
Le même se passe quand à mon adhésion à une association de personnes adeptes de la crémation des corps que la vie quitte. Je suis totalement d'accord avec eux pour une question d'hygiène et de respect pour la Terre et pour les élémentaux, sur lesquels on amoncelle des tonnes de coquilles vides et pourrissantes. J'espère que cette vérité ne vous choquera pas.
L'enterrement était sans doute une bone mesure, de loin préférable à laisser les cadavres se décomposer à l'air libre, et aussi une preuve de respect pour l'âme qui les avait abrités.
Pourtant, en ce moment où nous commençons à nous apercevoir de tant de choses cachées ou oubliées, où le respect de la planète devient un devoir pour l'avant-garde des humains, on est en droit de se demander si l'enfouissement des corps dans la terre, avec leurs microbes, leurs virus et toute sorte de disfonctionnements qui les ont tués, n'est pas une façon de propager ces nuisances au sol, pour qu'elles ressortent dans les arbres, les plantes et les quelques animaux qui broiutent parfois l'herbe poussée sur les tombes abandonnées.
Sans compter que pour les familles c'est souvent un lourd fardeau de devoir entretenir et fleurir régulièrement la tombe d'un ou de plusieurs de leurs chers disparus.
Je crois même que pour ces chers disparus il est encore plus pénible de se sentir attirés vers ces endroits lugubres, car ce que les vivants ne voient pas, c'est-à-dire, les restes en décomposition dans leurs corbillards, eux les voient et en sont attristés.
Pour honorer nos morts, je pense qu'une urne remplie de cendres, quelques photos et aussi le souvenir des bons moments vécus ensemble seront suffisants, surtout si l'on comprend que ces êtres aimés sont à présent dans la Lumière Divine, heureux et en bonne santé... et souvent à nos côtés pour nous consoler et protéger.
Quant à moi, en dépit de tout cela, je n'adhérerai pas à une de ces associations pour la simple raison que des Ëtres Supérieurs mon promis que, si tel était mon souhait et que ma détermination d'accomplir le travail d'ascension était assez forte, je n'allais pas passer par la mort mais transmuter mes cellules pour pouvoir rester encore longtemps sur la Terre où ma mission m'invite à continuer.
Je m'y suis engagée tout en sachant qu'en passant par la mort, de l'autre côté du voile mon existence serait plus simple, plus tranquille et sans doute plus heureuse. Je veux rester pour mener jusqu'au bout le rôle que j'ai choisi, pour le service de la Source, celui du Dieu qui vit en moi, de ceux qui m'on guidée sans rien me demander et de toute l'humanité, ainsi que celui de notre planète à laquelle nous devons tant et que nous avons saccagée.
Certains me trouvent folle. Cela me fait rire et je leur dis d'un ton léger:
"Dans peu de temps on verra qui est fou et qui ne l'est pas."
Je n'admets pas le doute ni le manque de confiance et de loyauté envers Ceux qui me guident et protègent. Je place cette confiance ailleurs que dans les banques, les entreprises et les croyances qui souvent ne sont plus adaptées à notre temps ni à nos besoins.
Les plus sceptiques d'entre vous pourront me demander:
"Et si tu meurs quand même?"
Dans ce cas, tout ce que je pourrai leur répondre est que ce sera une mort joyeuse. S'il y a quelque chose dont je ne peux plus douter, c'est qu'il existe une vie après la vie. J'en ai eu assez de preuves qui, n'étant pas matérielles, ne peuvent pas convaincre ceux qui n'ont rien vécu de semblable.
Mais pour arriver à cette certitude il faut être attentif à tous les petits miracles qui nous sont offerts chaque jour, à la rue à grande circulation où l'on ne voit plus une seule voiture au moment où l'on doit la traverser, à la personne qui surgit on ne sait d'où pour se charger de votre panier trop lourd, ou à celle qui, sans être solicitée, vous aide à monter dans ce bus au marche-pied trop haut; à des solutions à vos problèmes qui arrivent quotidiennement, comme des cadeaux qui veulent dire: "Tu n'es jamais seule. Nous veillons sur toi."
Je veux bien courir tous les risques pour mon idéal, car vivre pour un idéal est faire de sa vie une oeuvre d'art. Tout le reste ne sont que des détails.
en tant que que FLEUR D'INCOMPREHENSION JE SUIS CONTRE LES URNES A CENDRE
NOTRE TERRE MERE NOUS A PORTEE DURANT TELLEMENT D'INCARNATION
C'EST NOTRE DEVOIR D'OFFRIR POUR SON SEJOUR NOTRE CORPS ET IL EXISTE UNE MUL
TITUDE DE TEXTES CHANELISES QUI DONNENT DES INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES
A CE SUJET --- DANS LA PROCHAINE INCARNATION LE CORPS POURRA MIEUX SE CONSTITUE
ECT... a vous de chercher les textes traitant du sujet .